Je n'ai jamais su aller dans le sens du langage je ne sais plus parler J'ai les gènes en présence libre dans tout l'univers rendez-moi mes origines Je suis sans nom propre juste un nom sale Vous comprenez Orpheline et je laisse des malaises à chaques coins de rues coins de bouches bouche cousue Mademoiselle sur l'accélération des souvenirs vous devez fermer les yeux et laisser l'âme en ébullition la Bombe mentale c'est dans votre tête d'accord ? Toi sur mon miroir Regarde comme le coup de poing offre le vertige sens la violence que je respire Qu'un désastre à digérer Et sinon le crime tout ça ça vous fait quoi qu'est-ce que vous en pensez Vous croyez qu'elle est folle ? Qu'elle s'est évanouie en elle-même On ne sait même pas si elle est déja naît ou déja morte Elle attire les coups un jour elle va tuer c'est sur Ou c'est elle qui tuera Pour le plaisir Mon ombre s'impatiente et voudrait me surpasser Croche-pied à mes angoisses Le grande salle des visions j'ai coupé la corde des pendus Entre vos os épais j'ai construis des labyrinthe et la nuit c'est moi, qui vient récolter vos larmes Maman tu ne comprends pas la liberté n'est pas donné elle est à prendre J'irais avec mes mains J'irais avec hallucinations mes armes mystérieuses j'irais la prendre la coucher sur mes voyelles Est-ce que mes griffes l'ont émue quand je regarde le ciel dans les yeux j'ai toujours mal à la tête Les phalanges fragiles dans l'irritation d'une pétale de rose tu ne comprends pas je deviens aveugle j'ai les yeux qui se renverse à l'intérieur, j'ai les larmes qui coulent dans le visage l'odeur de la drogue dans les veines intacts vierges C'est ça qu'il ne comprennent pas les hommes tout ce sang qui coule sans que blessure ne soit faite c'est la vulve cette peau ingrate si fragile qui attire la brutalité c'est le rouge à lèvres qu'elle met sur les mauvaises lèvres J'avais hurlé dans ma tête en m'appliquant sur chaques vers le poéme était ensanglanté L'inspiration tremblante Mon objectif silence Harmonie des silences Non je ne parlerais plus maman de mes 45 kilos de mes cadavres étranges dans ma chambre l'odeur de la cigarette dans mon sexe, je confond les lèvres, je fume par les trous pour y mettre le feu Non je ne parlerais plus Le mur du silence Il y'a eu une accumulation de peuples barbares dans mon bégaiement, tellement de langues qu'elles ont fourchées sur le silence C'est la science normale tu comprends à force de trop de guerres ton armée devient euphorique L'effondrement du systéme solaire se fait attendre je l'entend le funambule me dire que L'audace tu sais l'audace de mon coeur se lit sur mon corps Non vraiment l'émotion a surement dérapé quelque part Je ne sais plus parler On me bat à l'intérieur depuis l'éternité Ma légéreté
Saturday, December 30, 2006
Je n'ai jamais su aller dans le sens du langage je ne sais plus parler J'ai les gènes en présence libre dans tout l'univers rendez-moi mes origines Je suis sans nom propre juste un nom sale Vous comprenez Orpheline et je laisse des malaises à chaques coins de rues coins de bouches bouche cousue Mademoiselle sur l'accélération des souvenirs vous devez fermer les yeux et laisser l'âme en ébullition la Bombe mentale c'est dans votre tête d'accord ? Toi sur mon miroir Regarde comme le coup de poing offre le vertige sens la violence que je respire Qu'un désastre à digérer Et sinon le crime tout ça ça vous fait quoi qu'est-ce que vous en pensez Vous croyez qu'elle est folle ? Qu'elle s'est évanouie en elle-même On ne sait même pas si elle est déja naît ou déja morte Elle attire les coups un jour elle va tuer c'est sur Ou c'est elle qui tuera Pour le plaisir Mon ombre s'impatiente et voudrait me surpasser Croche-pied à mes angoisses Le grande salle des visions j'ai coupé la corde des pendus Entre vos os épais j'ai construis des labyrinthe et la nuit c'est moi, qui vient récolter vos larmes Maman tu ne comprends pas la liberté n'est pas donné elle est à prendre J'irais avec mes mains J'irais avec hallucinations mes armes mystérieuses j'irais la prendre la coucher sur mes voyelles Est-ce que mes griffes l'ont émue quand je regarde le ciel dans les yeux j'ai toujours mal à la tête Les phalanges fragiles dans l'irritation d'une pétale de rose tu ne comprends pas je deviens aveugle j'ai les yeux qui se renverse à l'intérieur, j'ai les larmes qui coulent dans le visage l'odeur de la drogue dans les veines intacts vierges C'est ça qu'il ne comprennent pas les hommes tout ce sang qui coule sans que blessure ne soit faite c'est la vulve cette peau ingrate si fragile qui attire la brutalité c'est le rouge à lèvres qu'elle met sur les mauvaises lèvres J'avais hurlé dans ma tête en m'appliquant sur chaques vers le poéme était ensanglanté L'inspiration tremblante Mon objectif silence Harmonie des silences Non je ne parlerais plus maman de mes 45 kilos de mes cadavres étranges dans ma chambre l'odeur de la cigarette dans mon sexe, je confond les lèvres, je fume par les trous pour y mettre le feu Non je ne parlerais plus Le mur du silence Il y'a eu une accumulation de peuples barbares dans mon bégaiement, tellement de langues qu'elles ont fourchées sur le silence C'est la science normale tu comprends à force de trop de guerres ton armée devient euphorique L'effondrement du systéme solaire se fait attendre je l'entend le funambule me dire que L'audace tu sais l'audace de mon coeur se lit sur mon corps Non vraiment l'émotion a surement dérapé quelque part Je ne sais plus parler On me bat à l'intérieur depuis l'éternité Ma légéreté
4 Comments:
Troublante
divinement troublante
Quel style ..
Tu n'as pas encore compris que c'etait l'univers tout entier qui coulait dans tes veines ?
Je te découvre au fur et à mesure, pages après pages. Ce soir, en lisant ton blog tout en écoutant une musique particlière, mon coeur s'est emporté. Ca m'a fait bizarre. On peut aller jusqu'à en pleurer de mêler la lecture de tes mots à la mélancgolie de certaines chansons. J'ai froid.
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